Alors que la construction représente une part importante des secteurs concernés par les enjeux de développement durable, celle-ci fait partie des domaines où les attentes en matière de réduction des émissions sont les plus importantes.
Il faut se montrer économe en énergie, en matériaux, en technicité, en territoire mais généreux en terme de confort.
Les matériaux et l’exploitation, deux leviers indissociables pour réduire l’empreinte carbone du bâtiment.
Chaque seconde, près de 200m3 de béton sont coulés dans le monde. C’est l’un des produits industriels les plus consommés avant même le pétrole, notamment dans la construction.
Dans le monde, on estime à un milliard de tonnes le CO2 rejeté par an par l’industrie du ciment. Face aux enjeux planétaires et aux mutations urbaines à venir, la révolution des modes de construction est en marche.
Les réalités économiques ou techniques expliquent en grande partie son suremploi. Il existe cependant des alternatives qui comportent certes des difficultés mais qui méritent d’être développées.
Et les évolutions techniques de l’industrie cimentière ne sont pas les seuls leviers d’action dont on dispose.
Pour cela Nous devons recourir à ce que la nature nous apporte et qu’on a pris l’habitude de confier à la technique : l’air, la lumière, la chaleur…
Mais pas que,
Les ingénieurs et les architectes doivent travailler constamment à améliorer leurs méthodes de conception afin de minimiser l’empreinte environnementale des ouvrages : gestion exemplaire des consommations en énergie et en eau, choix de matériaux écologiques, locaux et sains, atténuation des pollutions et des nuisances, etc.
Growline et la construction durable
Pour Growline et ses bureaux d’études, construire durable signifie d’abord concevoir autrement. Afin d’anticiper les nouvelles exigences, nos équipes innovent et révisent leurs pratiques. Le travail collaboratif devient ainsi la norme, nos méthodes se veulent plus transversales, plus globalisantes, tandis que la maîtrise d’outils de calcul et de simulation confère à nos ingénieurs un rôle tout à fait central.
Pour vos projets, il faut optimiser la géométrie et tramer les bâtiments pour limiter les reprises de charges (poteaux/poutre, épaisseurs de dalles).
En termes d’exécution, il faudra optimiser les pratiques, incluant la matière (optimisation des dimensionnements, des toupies, gérer les réservations, réduire à la source les déchets) et les méthodes de construction.
Il n’y a plus de projet générique, de solution globale. On aura toujours besoin du béton pour certains ouvrages particuliers mais il faut dépasser la notion du tout béton.
Le développement de ces alternatives suppose des investissements plus important qu’une approche standard. L’enjeu ne saurait se réduire au seul choix des matériaux mais suppose des transformations dans nos manières de penser, de construire et de transformer nos lieux de vie et de travail.
L’ensemble des acteurs concernés, des citoyens, aux entreprises en passant par les architectes et les urbanistes, les ingénieurs études et les acteurs publics qui devraient interagir dans ce sens.
Growline, réseau de BET et d’ingénieurs OPC, garantit un meilleure résultat grâce à un cheminement en trois étapes : optimisation des besoins avec des séances de remue-méninge avec tous les intervenants, choix des meilleures options en amont, et réduction des coûts et des délais grâce à une anticipation des risques et une meilleure réactivité.